After two years of organizing the LAND-at-scale Exchange in Utrecht, the third LAND-at-scale exchange took place from June 9th to June 13th in Uganda, hosted by LAS partner UN-Habitat/ Global Land Tool Network. Nearly 60 LAS country and knowledge partners came together in Kampala to exchange lessons learned and explore common challenges. As of 2024, twelve country projects are being implemented under the LAS program, namely Burkina Faso, Burundi, Chad, Colombia, Egypt, Iraq, Mali, Mozambique, the Palestinian Territories, Somalia, Rwanda and Uganda.

Estudio de caso en torno a la minería aurífera en el Bajo Cauca antioqueño en Colombia que hace parte de la serie “Efectos del extractivismo en América Latina”. Se reflexiona sobre las formas corporizadas en las que las mujeres que habitan el Bajo Cauca antioqueño, en Colombia, experimentan los cambios en el territorio que habitan como cambios que también dejan huellas en sus cuerpos.

Land information is critical for equitable land governance that benefits the most vulnerable and drives economic growth, sustainable development, and food security. However, land data and information sources remain highly fragmented, unstructured and do not present the full range of perspectives needed for decision making. Land governance, (laws, processes, and institutions) regulate how decisions concerning land are made, implemented, and enforced and require the best possible land data and information.

LAND-at-scale est une contribution à la protection des droits fonciers coutumiers des communautés et à la consolidation des acquis majeurs de la gouvernance foncière au Mali. Les cadres multi-acteurs à différents niveaux sont des espaces d’apprentissage et de partage d’expériences à promouvoir pour la gestion durable et apaisée du foncier agricole, gage de paix et de cohésion sociale, qui passe par la responsabilisation des communautés locales.

Les dynamiques migratoires dans les zones agricoles, liées à la conjugaison de facteurs structurels et conjoncturels, prennent de l’ampleur et posent de nouveaux défis dans la gestion des conflits fonciers. Les mécanismes traditionnels et modernes de gestion foncière doivent régulièrement se renouveler et s’adapter, afin de résoudre efficacement et durablement les différends fonciers causés par les déplacements de populations.

La collaboration entre les commissions foncières (CoFo) villageoises[1] et communales[2] joue un rôle crucial dans la gestion concertée, pacifique et durable des terres et des ressources naturelles des communautés rurales.

Les chocs climatiques exercent une pression sur les terres agricoles qui se manifeste par la surexploitation des terres et l’utilisation abusive d’intrants, ce qui accélère et aggrave leur dégradation (lessivage continu, érosion, transport des particules). La sécurisation foncière des communautés contribue au développement et à la promotion de l’agroécologie paysanne. Elle encourage l’investissement dans les terres agricoles (par des plantations d’arbres à des fins agroécologiques).

Le Code minier du Mali dispose que les ressources souterraines appartiennent à l’État, même s’il s’agit de terres agricoles. Cette disposition consacre le droit souverain de l’État sur les ressources du sous-sol, qui en organise l’accès et l’exploitation. Les autorités doivent largement partager le contenu de cette disposition avec les communautés locales lors du processus d’attribution de titres miniers. L’État doit également faire respecter le mécanisme de surveillance et de contrôle du cahier des charges à cet effet.

In Mozambique, the law recognizes certain forms of occupation as constituting legal tenure and nationals can claim this recognition of their right to occupy and use land allocated through customary norms/practices. Local communities can also claim rights over land which they have customarily occupied, used, and managed. These rights are not prejudiced by their lack of titling or documentation and may be defended on the basis of oral testimony.

After 30 years of an authoritarian regime, Sudan reached a power-sharing deal between the military and the civilians that brought a transitional government to power in 2019. Their agenda was to lead the country towards a democratic transformation for no more than three years. This period of relative stability provided the space for democratic reform and increased transparency in Sudan, reversed by the return of political instability in 2022.